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* La rêverie est le clair de lune de la pensée *
* * L'avenir appartient aux gens qui croient en la beauté de leurs rêves et qui ont la même vision du monde à 67 ans qu'à 20 ans . **
De Frizou.Org
*** L'homme ne pourra jamais cesser de Rêver. Le rêve est la nourriture de l'âme comme les aliments sont la nourriture du corps . ***
De Paul COELHO - Extrait du " LEPELERIN DE COMPOSTELLE "
*** L'insomniaque rêve d'une défaillance de la conscience qui lui permettrait de dormir comme l'acrobate rêve d'une défaillance de la pesanteur qui lui permettrait de ne jamais retomber ***
De Jean Bouidillard - Extrait de cool Mémoires ( 1980-1985 +
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J'adore cette belle mélodie où seule sa voix claire et le son du piano s'unissent en un écho pour ne faire qu'un accord doux parfait et magestueux.
Bravo Adèle !
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Je conçois le songe comme un beau rêve celui que je voudrais rattaché à la réalité.
Parmi les rêves, il existe les bons et les mauvais . Les mauvais rêves sont des cauchemars ceux qui sont à bannir de mes pensées.
Je peux rêver les yeux fermés mais aussi les yeux ouverts, là c'est lorsque je me déconcentre et que mes pensées sont ailleurs ( d'où le terme " être dans la lune " et comme il fait bon d'aller dans les étoiles ! ). Mais cette rêverie est de courte durée me ramenant à la dure réalité de la vie.
Ecoutez cette belle chanson de mon ami Phil FASAN
" Somewhere in my broken heart "
si le coeur vous en dit...
Sincèrement, je me laisse bercer par sa douce voix
Poème de ma création sur " le cauchemar "
J'ouvre mon lit, comme j'ouvre un livre,
Mon corps se faufile entre les deux pages.
Tourne la page, ferme tes yeux ivres !
Ivres de sommeil, pleins d'images.
Ce sont des spectres qui défilent dans les ténèbres.
Je regrette mes querelles futiles,
Hier encore, elles me prennaient comme la fièvre.
Maintenant un sentiment d'infériorité me mutile.
Comme dans un film d'épouvante.
Mes poings sérrés dans le vide.
Saisie par la peur et les souvenirs qui me hantent.
Douleurs insoutenables dont ma face se ride.
Mon impuissance face à ce monde accéléré,
Qui engloutit tout, monde d'injustices.
Où, devant tant de promesses non tenues, je suis ulcérée.
Où tout espoir semble vain, tout n'est qu'artifice.
Dans ce décor fictif où un brouillard malsain,
M'enveloppe de ses gigantesques mains ouatées.
Aucun cri ne s'échape de ma bouche, nul refrain.
Dans ma course sans but qui méne nulle part, je suis affolée.
Et mon corps en transe émet des soubressauts,
Sensations désagréables qui me laissent en sueur.
Brusquement je m'éveille en sursauts,
soulagée de m'apercevoir que tout ceci n'est qu'une erreur.
De mandragore32
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